Le problème du transfert des meilleures technologies russes dans le domaine de l'éducation sera abordé lors du Forum Russie-Afrique

Le 28 juillet, la table ronde intitulée « Russie-Afrique : transfert des meilleures technologies éducatives dans le domaine de l’enseignement général, secondaire spécialisé et extrascolaire » fera partie du programme d'affaires du Forum économique et humanitaire Russie-Afrique partie du bloc thématique « Domaine humanitaire et social: ensemble vers une nouvelle qualité de vie ». Le modérateur sera Oxana Boïko, présentatrice, correspondante de la direction des programmes en langue anglaise, chaîne de télévision RT. Les panélistes suivants sont invités à participer à la discussion: Mohammed Belhocine, Commissaire à l’Éducation, aux Sciences et Technologies et à l’Innovation au sein de l’Union Africaine ; Purificacion Bohari Lasaquero, ministre-déléguée à l’Enseignement, la sciences et la formation universitaire et professionnelle de la République de Guinée équatoriale ; Denis Gribov, adjoint au ministre de l’Instruction de la Fédération de Russie ; Maxim Dreval, directeur général de la société russe Znanié ; Natalia Trétiak, directrice générale du groupe « Prosvéchtchénié » ; et d’autres.
Dans le paradigme géopolitique actuel, la Russie et les pays africains développent stratégiquement leur coopération dans tous les types de relations. Une attention particulière est accordée à la mise en œuvre d’initiatives dans le domaine de l’enseignement. Des liens historiques de longue date constituent une base solide pour le dialogue bilatéral avec les pays africains. Ce travail est renforcé par le vif intérêt des pays amis pour l’étude de la langue russe, la possibilité pour des étudiants africains de faire des études dans les universités de Russie et les projets clés dans le domaine de l’enseignement. La promotion de l’enseignement général et secondaire professionnel russe à l’étranger et de ses méthodes et pratiques très efficaces ouvre de nouvelles perspectives de coopération. Comment cette expérience peut-elle être utile à la mise en œuvre des politiques d’enseignement dans les pays africains ? Quels sont les projets d’enseignement russes susceptibles d’intéresser les pays africains ?
« La profession de scientifique devrait devenir l'une des professions les plus importantes. Cela ne veut pas dire qu'elle doit devenir accessible, que tout le monde doit pouvoir devenir scientifique. C'est un chemin difficile. Tout le monde ne deviendra pas un grand scientifique. Tout comme, en Union soviétique, tout le monde ne pouvait pas devenir cosmonaute. Mais tout le monde le voulait. Tout le monde devrait vouloir devenir scientifique et réaliser à quel point c'est important pour le pays aujourd'hui et que l'avenir en depend », a déclaré Maxim Dreval, directeur général de la société russe Znanié.
Le débat débutera à 14h00 dans le pavillon G, salle de conférence G4.
L’organisateur du Deuxième sommet et Forum économique et humanitaire Russie-Afrique est la Fondation Roscongress.
Site du Sommet : https://summitafrica.ru/