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23 October 2019
10:00–13:00 Salle de session plénière du Forum
Session plénière
Russie-Afrique : faire valoir le potentiel de coopération
Discours du Président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine
Discours du Président de la République arabe d'Égypte Abdelfattah Al-Sisi
Modérateur:Irina Abramova — Directrice, Institut de l'Afrique de l’Académie des Sciences de Russie ; Membre correspondant, Académie des Sciences de Russie
Intervenants:S.E. Amani Abou-Zeid — Président du Conseil de surveillance, Agence internationale de développement souverainDmitri Kobylkin — Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement de la Fédération de RussieAndreï Kostine — Président du Conseil D’administration, VTB BankPhuthi Mahanyele-Dabengwa — Directeur exécutif, Naspers LtdBenedict Okey Oramah — Président, Président du Conseil d'administration, AfreximbankMaxime Orechkine — Ministre du Développement économique de la Fédération de RussieAndreï Slepnev — Directeur général, Centre russe d’exportationStergomena Lawrence Tax — Secrétaire exécutive de la Société de développement de l’Afrique australe
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23 October 2019
12:00–13:00 Salle de session plénière du Forum
Session plénière
Les compétences de la Russie au profit de l’Afrique
La croissance inclusive et le développement durable auxquels aspirent les économies africaines doivent être assurés par un progrès technologique continu. Le paysage technologique dans le monde d’aujourd’hui est de plus en plus numérique, ouvrant de nouveaux horizons pour relever les défis auxquels l’Afrique et le monde sont confrontés : faim, inégalités, analphabétisme et maladies. Les technologies numériques modifient notre façon de communiquer, accroissent l’efficacité de l’administration publique et améliorent l’accès aux services publics. Elles rassemblent des solutions industrielles individuelles dans des projets intégrés, créant une chaîne favorisant l’accroissement de valeur ajoutée et un mécanisme cohérent de renforcement du capital humain, ce qui est particulièrement important pour les jeunes économies africaines. Quelles sont les solutions technologiques qui aideront les pays africains à accélérer la croissance du bien-être ? Par où commencer la mise en œuvre des technologies de l’information et de la communication ? Dans quels domaines sera-t-elle la plus bénéfique ? Comment former des cadres à la nouvelle révolution technologique ?
Modérateur:Maxime Orechkine — Ministre du Développement économique de la Fédération de Russie
Intervenants:Oleg Belozerov — Président-Directeur général du Conseil d'administration, Chemins de fer russes (RJD)Alexander Vediakhine — Premier Président Adjoint du Bureau Exécutif, SberbankSergueï Gorkov — Directeur général, Président du Conseil d'administration, SA « Rosgeologuia »Andreï Gouriev — Président du Conseil d'administration et Directeur général, SA « PhosAgro »Yakov Itskov — Directeur de L’activité Aluminium, RUSALKirill Komarov — Premier directeur général adjoint, directeur du développement et des affaires internationales, RosatomAndreï Kostine — Président du Conseil D’administration, VTB BankDimitri Masepine — Président du Conseil d'administration, SA URALCHEMAlexeï Overtchouk — Commissaire Adjoint, Service Fiscal Fédéral de RussieMushegh Sahakyan — Directeur du développement international, YandexVéronika Skvortsova — Ministre de la santé de la Fédération de RussieSergueï Youchine — Directeur du Comité Exécutif, Association National de la Viande
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23 October 2019
12:30–14:00 salle de conférence Tolstoï
Créer des projets en commun
Les défis actuels pour le développement du marché de la construction de logements sur le continent africain
Le problème des logements est l’un des plus graves pour la majorité écrasante des pays africains. Des logements modernes et une approche intégrée de l’aménagement du territoire sont les garants d’un développement urbain durable et d’une croissance socio-économique. Aujourd’hui, on parle de la nécessité d’identifier les besoins du marché du logement en Afrique, de trouver des solutions en commun et d’activer des synergies pour obtenir les résultats plus efficaces et plus rapides. Il s’impose de prendre des mesures pratiques visant à trouver, soutenir et mettre en œuvre des projets communs. Comment démarrer la première phase des projets de développement résidentiel ? Quels sont les mécanismes étatiques de soutien à l’investissement étranger ? Quels sont les instruments financiers mutuellement avantageux nécessaires ? Comment assurer l’accès universel à un logement sûr et abordable et une planification satisfaisante de l’aménagement du territoire ?
Modérateur:Nikita Stassishin — Vice-ministre de la Construction et du Logement et des Services communaux de la Fédération de Russie
Allocution de bienvenue:Vladimir Iakoushev — Ministre de la Construction et du Logement et des Services communaux de la Fédération de Russie
Intervenants:Samuel Atta Akyea — Ministre des Travaux publics et du Logement de la République du GhanaAlamine Ousmane Mey — Ministre de l’Économie et du Développement régional de la République du CamerounIbrahima Kourouma — ministre de la ville et de l'aménagement du territoire de la république de GuinéePeya Mushelenga — Ministre du Développement urbain et rural de la République de Namibie
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23 October 2019
12:30–14:00 salle de conférence n° 1
La coopération dans les domaines humanitaire et social
La coopération humanitaire en Afrique : objectifs de développement et responsabilité sociale des entreprises
Les questions de la coopération humanitaire entre la Russie et les pays africains dans le domaine du développement du capital humain (enseignement et culture), des programmes sociaux et de santé publique, ainsi que de l’accès aux principaux avantages assurant la vie et le développement des pays du continent sont de plus en plus importants de nos jours. Les entreprises russes accordent une attention croissante au progrès social des pays dans lesquels elles opèrent. Comment les pays africains surmontent-ils la pauvreté, les maladies et les conflits ? Dans quel domaine les gouvernements et les organisations internationales ont-ils besoin des entreprises ? Quels programmes de responsabilité sociale et humanitaire les entreprises russes mettent-elles déjà en œuvre en Afrique ?
Modérateur:Alexeï Bobrovsky — Chef du Service des programmes économiques, Russie 24 TV Channel
Intervenants:Rassoul Botashev — Membre de la Commission des Affaires internationales auprès de la Douma d'État de l'Assemblée fédérale de la Fédération de RussieAndreï Martirossov — Membre du Conseil d'administration, WaterGen RussiaEleonora Mitrofahova — Directrice, Agence Fédérale Pour la Communauté des États indépendants (CEI), les Russes Vivant à L’étranger et la Coopération Humanitaire InternationaleValentin Tapsoba — Directeur Régional du Bureau pour l’Afrique Australe, Haut-Commissaire aux Réfugiés des Nations UniesOlga Timofeïeva — Présidente Adjointe de la Douma (chambre basse) du Parlement de la Fédération de RussieVadim Titov — président, établissement privé « Rosatom – réseau international »
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23 October 2019
12:30–14:00 salle de conférence n° 2
La coopération dans les domaines humanitaire et social
Russie-Afrique : science, enseignement et innovation pour le développement économique
Le développement accéléré du potentiel économique de la Russie et de l’Afrique est indissociablement lié à la mise en valeur des résultats de la recherche et à l’amélioration de l’enseignement général et professionnel. L’économie du XXIe siècle est devenue une économie du savoir. La recherche et le développement scientifiques conduisent à l’émergence de nouveaux produits et de nouvelles industries et peuvent apporter une contribution importante à la résolution des problèmes économiques et sociaux urgents auxquels nos pays sont confrontés. L’Union soviétique avait apporté une contribution inestimable au développement du potentiel scientifique et didactique des États africains. Que peut offrir la Russie aujourd’hui aux pays africains dans le domaine du développement scientifique et de l’enseignement, surtout dans le cadre de la mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine ? Quelles nouvelles opportunités la coopération dans les domaines de la science et de l’enseignement avec les pays africains offre-t-elle à la Russie ?
Modérateur:Irina Abramova — Directrice, Institut de l'Afrique de l’Académie des Sciences de Russie ; Membre correspondant, Académie des Sciences de Russie
Intervenants:Youri Balega — Vice-président, Académie des sciences de RussieAiah Gbakima — Ministre de l'enseignement supérieur et technique de la République de Sierra LeonePavel Zenkovitch — Premier adjoint au Ministre de l’Enseignement de la Fédération de RussieS.E. Hala Helmy Elsaid Younes — Ministre de la planification, du contrôle et des réformes administratives de la République Arabe d’ÉgypteMikhaïl Kotioukov — Ministre de la Science et de l'Éducation supérieure de la Fédération de RussieS.E. Mohamed Methqal — Ambassadeur, directeur général, Agence marocaine de coopération internationaleIgor Morozov — Vice-président, Comité du Conseil de la Fédération de l'Assemblée fédérale de la Fédération de Russie pour la science, l'éducation et la cultureS.E. Maria Do Rosario Bragança Sambo — Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Science, de la Technologie et de l’Innovation de la République d'AngolaHon. Elioda Tumwesigye — Ministre de la Science, des technologies et de l’innovation de la république d’OugandaVladimir Filippov — Recteur, Université russe de l'Amitié des Peuples (URAP)
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23 October 2019
12:30–14:00 salle de conférence n° 3
Développer les relations économiques
Les relations russo-africaines : le rôle des médias
Aujourd’hui, le continent africain occupe une place de plus en plus significative dans le système mondial, il joue un rôle important dans le développement des relations économiques mondiales et internationales, dans l’édification d’un système stable et intégral de sécurité internationale. Les relations russo-africaines prennent de l’ampleur. Des impulsions supplémentaires sont données par le développement dynamique de contacts dans divers domaines. Les médias devraient être un facteur décisif dans l’établissement de liens efficaces puisque dans l’espace médiatique actuel l’Afrique est souvent associée à de nombreux conflits internationaux, religieux et ethniques, à l’instabilité politique et économique et à toute une série de problèmes démographiques et sociaux. La connaissance de la Russie d’aujourd’hui et les mesures prises par ses dirigeants politiques face aux défis mondiaux n’occupent pas non plus la place qu’elles méritent dans le champ médiatique du continent africain. Quels sont les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui dans le processus de formation d’un environnement médiatique moderne ? Quel est le rôle des médias dans les relations russo-africaines ? Quelles sont les perspectives de coopération dans le domaine de l’information ? Comment l’agenda des médias russes s’élabore-t-il en Afrique ? Quel est le rôle et la place de la Russie dans l’espace médiatique d’aujourd’hui en Afrique ?
Modérateurs:Mikhaïl Guzman — Président, Comité russe du Programme international pour le développement de la communication de l’UNESCO ; Vice-président, Conseil Mondial des Agences de PresseKhalil Hachimi Idrissi — Directeur général, Agence Maghreb Arabe Presse (MAP)
Intervenants:Mikhaïl Bogdanov — Vice-Ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie ; Représentant spécial du Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et l'AfriqueAlexeï Vassiliev — Président honoraire, Institut d'Afrique de l'Académie des sciences de Russie, Moscou ; Rédacteur en chef, Asia and Africa Today MagazineVladimir Kouznetsov — Directeur, Centre d’information des Nations unies à MoscouXavier Messè à Tiati — Directeur général, Agence de presse de la République du CamerounSergueï Mikhaïlov — Directeur général, Agence de presse russe TASSAlbert Kofi Owusu — Directeur général, Ghana News Agency
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence Dostoïevski
Créer des projets en commun
Les infrastructures de transport sur le continent africain. Perspectives de mise en œuvre de projets communs
Avec le soutien de la société « Chemins de fer de Russie » (RJD)
Le marché africain présente un potentiel important pour le développement des activités de transport, y compris les activités ferroviaires, et pour la mise en œuvre de projets communs. Le développement des infrastructures de transport devient une priorité pour de nombreux pays africains car les réseaux de transports servent de catalyseur pour le développement des industries majeures et leur expansion s’accompagne de création d’emplois, de développement de nouvelles compétences et d’amélioration de la qualité de vie des populations. La Russie est prête à offrir les technologies et les compétences les plus avancées dans le domaine du BTP, de la conception, de l’ingénierie et de la fourniture d’équipements. Toutefois, on constate la persistance de barrières à l’entrée sur ce marché, le manque de financement et les risques propres à certains pays. Quelles sont les perspectives des entreprises et des fournisseurs russes sur le marché africain aujourd’hui ? Quels soutiens et garanties publiques les pays africains bénéficiaires peuvent-ils apporter lors de la mise en œuvre de projets complexes sur leur territoire ?
Modérateur:Bronwyn Nielsen — Fondateur, directeur général exécutif, Nielsen Media and Associates; rédacteur en chef (2013-2017) CNBC Africa
Intervenants:S.E. Amani Abou-Zeid — Président du Conseil de surveillance, Agence internationale de développement souverainMartin Vaujour — Directeur général, TMH InternationalJohn Edward Tambi — Conseiller du président de la République de Sierra LeonePetrus Fusi — Directeur général pour la stratégie transfrontières, TransnetAboubaker Omar Hadi — Président, Autorité des Ports et des Zones franches de la République de Djibouti
Participants à la discussion:Léonid Dolgov — Directeur du développement international, Groupe GAZBasma Soudani — Directrice chargée des questions politiques, de l’information et du cabinet, Union du Maghreb arabe
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence Pouchkine
Développer les relations économiques
Le financement comme outil indispensable au développement économique de l’Afrique
À l’heure actuelle l’Afrique dispose d’un énorme potentiel économique et s'intègre activement dans le système des relations économiques internationales. Les perspectives de développement du commerce extérieur de la Russie avec les pays africains sont directement liées à la diversification des exportations de produits de base. En même temps, cet objectif ne pourra être atteint que si les canaux de financement internationaux sont organisés de manière à assurer une croissance des volumes des échanges. Le grand intérêt des parties pour le développement de la coopération économique russo-africaine dicte la nécessité de trouver des solutions pour la mise en œuvre de projets ambitieux dans le domaine du commerce. Compte tenu de la situation actuelle on peut parler de relance et de développement de l’environnement du commerce extérieur, cependant il faut trouver des partenaires financiers fiables. Quelles sont les difficultés qui peuvent devenir des obstacles à l’accroissement des volumes des contrats entre la Russie et l’Afrique ? Comment résoudre les problèmes qui se posent ?
Modérateur:Nikita Goussakov — Directeur général, SA « EXIAR »
Intervenants:Daniil Algoulian — Vice-président, Société nationale de développement « VEB.RF »Athanase Bostandjiev — Directeur général exécutif de Gemcorp Capital LLPAlexander Vediakhine — Premier Président Adjoint du Bureau Exécutif, SberbankAmr Kamel — Vice-président exécutif chargé du développement affaires et du financement bancaire entreprises, Banque africaine d’import-export (Afreximbank)Alexandre Krasnosselsky — Membre du conseil d’administration, chef des activités entreprise, Gazprombank SwitzerlandAdmassu Tadesse — président, directeur general, Banque de commerce et de développement d'Afrique orientale et australe (TBD)
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence Tolstoï
Créer des projets en commun
Les technologies nucléaires au service du développement de l’Afrique
Avec le soutien de l'entreprise publique d'énergie nucléaire Rosatom
La croissance démographique rapide et l’aggravation de la crise énergétique freinent la croissance économique du continent africain. Le manque d’infrastructures de transport adéquates, de plein accès aux services de santé, les bas niveaux d’enseignement et de sécurité alimentaire empêchent l’Afrique d’améliorer la qualité de vie de la population. Pour relever ces défis, il faut un plan d’action ambitieux, s’appuyant notamment sur la réalisation des objectifs fixés par les Nations unies en matière de développement durable. Ce sont les technologies nucléaires qui peuvent constituer un moteur de développement socio-économique et une solution globale aux problèmes systémiques du continent. Quelle est la première étape à suivre pour diffuser largement les technologies nucléaires en Afrique ? Est-il suffisant d’utiliser les technologies nucléaires dans le secteur de l’énergie pour mettre en œuvre les plans de développement ambitieux de la région ? Quelles sont les opportunités qui s’offrent aux pays africains après l’introduction des technologies nucléaires ? Quelle est l’approche la plus efficace pour mettre en œuvre un programme nucléaire national dans les pays émergents ?
Modérateur:Khetiwe Nkuna — Directrice Citoyenneté d'entreprise et Diversité et Inclusion, Accenture
Intervenants:Claver Gatete — Ministre des Infrastructures de la république du RwandaGetahun Mekuriya Kuma — Ministre de l'Innovation et de la Technologie de la République fédérale démocratique d'ÉthiopieAlexeï Likhatchev — Directeur général, RosatomNajat Mokhtar — Directrice générale adjointe, directrice du département des sciences nucléaires et des applications, Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)Roland Msiska — Chef, Agence de l'énergie atomique de la République de ZambieAmged El-Wakeel — Président du conseil d’administration, direction des centrales nucléaires de la République Arabe d’Égypte
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence n° 1
Développer les relations économiques
La souveraineté économique de l’Afrique : problèmes et solutions
Avec le soutien de l’Agence internationale pour le développement souverain (IASD)
Pour mener à bien les missions liées au développement et à la satisfaction des besoins de leurs populations les pays d’Afrique sont contraints de recourir à des financements extérieurs. Cependant leurs sources principales sont les crédits accordés par des institutions financières internationales et les emprunts directs sont imposés par les créditeurs en échange de l’exécution de conditions socio-économiques et politiques particulièrement lourdes qui limitent la souveraineté des pays d’Afrique. Les obligations souveraines et autres emprunts sur les marchés de capitaux ne représentent qu’une part minime de la dette africaine, et certains pays sur le continent sont toujours privés de cette source de financement. Ainsi plus de 100 milliards de dollars de potentiel d’emprunt de l’Afrique ne sont pas utilisés. Plus de 200 milliards de dollars de la dette existante pourraient être refinancés à des conditions moins pesantes. Les approches traditionnelles dans l’estimation du potentiel d’emprunt des États africains sont-elles toujours d’actualité ? Quel est le coût réel du « financement préférentiel » du FMI et de la Banque mondiale ? Pourquoi les sociétés multinationales qui pratiquent l’extraction de minéraux en Afrique attirent-elles des capitaux à des taux bien plus avantageux que les pays sur le territoire desquels sont situées ces richesses naturelles ? Quelles sont les conséquences auxquelles doivent s’attendre les pays africains si un tel modèle économique continue à être appliqué ? Quelle est la méthode qui permettra de restaurer la souveraineté économique et d’accélérer le développement des pays d’Afrique ? Comment faire en sorte que les ressources qui partent dans la poche d’autrui reviennent en Afrique ?
Modérateur:Otto Bitjoka — Président, Union des communautés africaines d'Italie
Intervenants:Samba Bathily — Fondateur de Africa Development Solutions (ADS) ; cofondateur et directeur général de Solektra InternationalSergueï Glasiev — Membre du Conseil d'administration (Ministre) chargé de l'intégration et de la macroéconomie, Commission économique eurasiennePaulo Gomes — Co-fondateur, New African Capital Partners ; Président, Paulo Gomes and PartnersSamaila Zubairou — Présidente-Directrice générale, Société financière africaine (AFC)Konstantine Malofeev — Président du Conseil de surveillance, Agence internationale pour le développement souverain (IASD)Oleg Ozerov — Directeur adjoint du département de l’Afrique, ministère des Affaires étrangères de la Fédération de RussieLeonid Fitouni — Directeur adjoint pour la recherche, Directeur, Centre d'études stratégiques et mondiales de l’Institut de l’Afrique de l’Académie des sciences de Russie
Participants à la discussion:Mikhaïl Loktionov — Partner, Freshfields Bruckhaus Deringer
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence n° 2
Créer des projets en commun
La coopération entre la Russie et l’Afrique dans l’industrie du diamant
Avec le soutien de la SA « ALROSA »
Le secteur de l’extraction du diamant joue un rôle important dans les économies d’un certain nombre de pays africains et représente une part essentielle de leurs recettes issues des exportations. L’extraction du diamant fait face aujourd’hui à d’importants défis à l’échelle de l’ensemble du secteur et la recherche de solutions sera déterminante pour l’avenir de l’industrie. Quelles sont les possibilités de dynamiser la coopération et le partage d’expérience dans le domaine des technologies d’extraction du diamant et celui de la sécurité industrielle ? Quelle pourrait être la coopération en matière de tri et de commercialisation ? Quelles pourraient être les formes de coopération entre les entreprises russes et africaines dans ces domaines ? Comment assurer la confiance des consommateurs dans les produits issus du diamant et mettre en place des chaînes efficaces d’approvisionnement responsable en diamants bruts de l’Afrique sur le marché mondial ? Quel est le rôle des organisations sectorielles dans ce domaine ?
Modérateur:Iris van der Weken — Directrice générale, Responsible Jewellery Council (RJC)
Intervenants:Diamantino Pedro Azevedo — Ministre des Ressources minérales et du pétrole de la république d’AngolaHon. Tom Alweendo — Ministre des Mines et de l'Énergie de la République de NamibieSergueï Ivanov — Directeur général, Président du Conseil exécutif, SA « ALROSA »Dmitri Kobylkin — Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement de la Fédération de RussieJean-Marc Lieberherr — Directeur général, Diamond Producers Association (DPA)Alexeï Moisseiev — Vice-ministre des Finances de la Fédération de RussieAlbert Mukina — Directeur général, Société Minière de Bakwanga (MIBA)Marcus Ter Haar — Directeur général, Okavango Diamond CompanyYouri Troutnev — Vice-Premier Ministre de la Fédération de Russie, Représentant plénipotentiaire du Président de la Fédération de Russie dans le District fédéral d'Extrême-OrientKillian Ukama — Président du Conseil d’administration, Zimbabwe Consolidated Diamond Company (ZCDC)Stéphane Fischler — Président, Conseil mondial du diamant (CMD)Kennedy Hamutenya — Directeur général, Namib Desert Diamonds (NAMDIA)Hon. Winston Chitando — Ministre des Mines et du Développement minier de la République du Zimbabwe
Participants à la discussion:Sandil Nogksina — Conseiller spécial auprès du Ministre des Ressources minérales et de l'Énergie de la République d'Afrique du Sud
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23 October 2019
14:30–16:00 salle de conférence n° 3
Développer les relations économiques
Investissements en Afrique
En 2050 le PIB de l’Afrique atteindra 29 billions de dollars et dépassera le PIB conjoint des USA et de la zone euro pour 2012. D’après les stratégies panafricaines et nationales de développement et les prévisions des meilleurs « groupes de réflexion » mondiaux, les facteurs clés de croissance de l’importance du continent à moyen et à long terme et les points de croissance critiques sont les suivants : les ressources de matière première ; l’infrastructure (les énergies et les routes) et l’industrialisation ; la démographie ; l’éducation ; la classe moyenne croissante ; l’accessibilité des services financiers. Les perspectives d’investissement du continent en dépendent : le climat d’investissement et les investissements courants, ainsi que leur diversification. Ils peuvent également, presque à eux seuls, décourager les investisseurs. Quels sont donc les modèles nationaux de développement (Chine, Chili, Inde, Vietnam) qui pourraient servir d’exemple pour les États africains ? Quel genre de leçon peut-on tirer des projets d’investissements existants (Russie, Chine, Inde) dans les pays d’Afrique ? Où leurs succès ou leurs problèmes se cachent-ils ? En quoi est-ce qu’ils sont applicables en Afrique ? Les « pays et les secteurs économiques africains prometteurs » existent-ils ?
Modérateur:Charles Robertson — Économiste en chef, Renaissance Capital
Intervenants:Frank Adu Jr. — Directeur général, CalBank LimitedBob van Dijk — Directeur général exécutif du groupe NaspersFrancis Gatare — Directeur général exécutif, Rwanda Mines, Petroleum and Gas BoardMonica Juma — Secrétaire de cabinet, ministère des Affaires étrangères et du Commerce international de la République du KenyaJean-Fidèle Otandault — Ministre de la Promotion des investissements, du Partenariat public-privé, responsable de l'amélioration du climat des affaires de la république du GabonS.E. Danny Faure — Président de la République des SeychellesAhmed Heikal — Fondateur, Président du Conseil d'administration, Qalaa Holdings
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23 October 2019
16:30–18:00 salle de conférence Dostoïevski
Développer les relations économiques
Union économique eurasiatique – Afrique : tendances et perspectives d’intégration et de coopération
Au cours des dernières décennies, les processus d’intégration économique sont devenus une tendance générale et dominante de développement des régions, incitant les pays concernés à s’intégrer avec succès dans l’économie mondiale et à minimiser les risques de crise dans divers secteurs de l’économie. L’intégration économique permet d’envisager la mise en œuvre de projets importants dans les domaines des infrastructures, de la logistique, de l’énergie, du commerce, du développement des secteurs agro-alimentaires et industriels, de la numérisation, des politiques migratoires et de l’emploi. Elle offre des possibilités supplémentaires d’élaborer des approches communes sur les questions environnementales, les sources d’énergie renouvelables et d’autres aspects qui déterminent le progrès scientifique et technique. Compte tenu de la diversité des compétences des unions régionales, il est tout à fait logique qu’il existe un dialogue et un échange des meilleures pratiques entre elles qui devraient optimiser les processus d’intégration économique et contribuer à la coopération sur un large éventail de questions. Comment se déroulent les processus d’intégration économique régionale en Eurasie et en Afrique ? Quels sont les domaines qui présentent le plus grand potentiel de coopération mutuellement bénéfique entre les structures d’intégration régionale ? Comment l’intégration affecte-t-elle l’architecture de l’économie mondiale ? Quels sont les avantages de l’intégration économique en Eurasie et en Afrique pour les entreprises ?
Modérateur:Natalia Zeiser — Présidente du conseil d’administration, Association « Initiative africaine d’affaires »
Intervenants:S.E. Amani Abou-Zeid — Président du Conseil de surveillance, Agence internationale de développement souverainS.E. Usha Chandnee Dwarka-Canabady — Secrétaire aux Affaires étrangères, Ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et du Commerce international de la République de MauriceSergueï Katyrine — Président, Chambre de Commerce et d'industrie de la Fédération de RussieLiberat Mfumukeko — Secrétaire général, Communauté d'Afrique de l'Est (CAE)Tigran Sargsyan — Président du Conseil d'administration, Commission économique eurasienneCaleb Fudanga — Président de l’Institute for Finance and Economics
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23 October 2019
16:30–18:00 salle de conférence Pouchkine
Développer les relations économiques
Entrepreneuriat en Afrique : opportunités, conditions et risques
L’Afrique est aujourd’hui l’une des régions les plus prometteuses et à la croissance la plus rapide du monde, où s’observe une forte concurrence entre les grandes puissances. Cependant l’Afrique ne doit pas être considérée comme un marché homogène unique. L’économie du continent est multiforme par son type, son échelle et sa structure. En même temps, l’Afrique contemporaine se caractérise par sa diversité politique, culturelle, ethnique et religieuse. Tout cela engendre une culture d’entreprise et d’affaires spécifique et impose d’adopter une approche individuelle pour mener une activité économique dans chaque pays. Quel est l’environnement commercial et administratif du continent ? Quelles sont les particularités de la concurrence ? Comment la dimension culturelle et civilisationnelle peut-elle être correctement prise en compte pour réussir des activités commerciales en Afrique ?
Modérateur:Aleksandr Chokhine — Président, Union russe des industriels et des entrepreneurs
Intervenants:Irina Abramova — Directrice, Institut de l'Afrique de l’Académie des Sciences de Russie ; Membre correspondant, Académie des Sciences de RussieMikhail Anitchkine — Président du Conseil d'administration, Centre de sécurité internationale « Mirotvorets »Bob van Dijk — Directeur général exécutif du groupe NaspersYoussouf Moussa Dawaleh — Président, Chambre de Commerce de DjiboutiS.E. Hala Helmy Elsaid Younes — Ministre de la planification, du contrôle et des réformes administratives de la République Arabe d’ÉgypteGabriel Curtis — Ministre en charge des Investissements et du Partenariat public-privé de la République de GuinéeYoweri Museveni — Président de la République d’OugandaS.E. Olusegun Obasanjo — Président de la République fédérale du Nigéria (1976-1979), (1999-2007)Dmitri Ossipov — Directeur général de l’entreprise publique « Ouralkaliï », président du Conseil d’affaires Russie-NigeriaEvguéni Pakermanov — Président, « Rusatom Overseas »Viktor Radko — Directeur général, United Manganese of Kalahari (UMK)
Participants à la discussion:S.E. Mohcine Jazouli — Ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères du Royaume du Maroc chargé de la Coopération africaine et des Expatriés marocainsAdetokunbo Kayode — Président, Chambre de Commerce et d'Industrie d'AbujaGalina Sidorova — Professeure, Université linguistique d'État de MoscouEvgueni Touloubenski — Directeur des affaires juridiques, corporatives et réglementaires, Membre du Conseil d'administration, Nordgold
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23 October 2019
16:30–18:00 salle de conférence n° 1
Créer des projets en commun
La coopération industrielle, source de points de croissance potentiels
Le développement des industries de haute technologie et d’exportation en Russie met en place les conditions préalables au renforcement de la coopération avec les pays africains et au lancement de grands projets communs dans une perspective à long terme. Comment améliorer la qualité de la coopération russo-africaine ? Quels sont les domaines de coopération qui intéressent le plus les entreprises russes et les pays africains ? Quels projets et domaines de coopération russo-africaine nécessitent un soutien financier, notamment de la part d’Afreximbank et d’autres structures ?
Modérateur:Ekaterina Diatchenko — Fondatrice et directeur général de B2B Export
Intervenants:Kirill Lipa — Directeur général, TransmachholdingDimitri Masepine — Président du Conseil d'administration, SA URALCHEMAmr Nassar — Ministre du Commerce et de l’Industrie de la République Arabe d’ÉgypteKarima Nigmatulina — Directrice Générale, Vi HoldingBenedict Okey Oramah — Président, Président du Conseil d'administration, AfreximbankAndreï Slepnev — Directeur général, Centre russe d’exportationIouri Sliousar — Président, Entreprise de constructions aéronautiques unifiée (« OAK »)Edward Hinga Sandy — Ministre du Commerce et de l’Industrie de la république de Sierra LeoneStergomena Lawrence Tax — Secrétaire exécutive de la Société de développement de l’Afrique australe
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23 October 2019
16:30–18:00 salle de conférence n° 2
Créer des projets en commun
Russie-Afrique : la coopération dans le secteur de l’énergie
L’Afrique aujourd’hui, c’est plus d’un milliard d’habitants, des ressources naturelles gigantesques et un continent qui évolue à un rythme poussé. En 2050 l’Afrique pourrait être une des économies les plus puissantes au monde. Une des conditions indispensables pour obtenir de tels résultats est de mener une politique efficace dans le secteur de l’énergie et soucieuse de la préservation des richesses naturelles de l’Afrique. Comment utiliser à bon escient les ressources des pays africains, notamment dans le domaine de l’énergie ? Quels sont les partenaires étrangers dans le secteur de l’énergie avec lesquels la Russie et l’Afrique doivent coopérer ? La diversification des investisseurs dans les projets liés à l’énergie sont-ils un gage de succès et de développement du secteur ? Comment l’« agenda vert » influence-t-il le développement et les changements structurels du secteur énergétique en Afrique ?
Modérateur:Bronwyn Nielsen — Fondateur, directeur général exécutif, Nielsen Media and Associates; rédacteur en chef (2013-2017) CNBC Africa
Intervenants:Mikhaïl Marguelov — Vice-président, TransneftS.E. Gabriel Mbega Obiang Lima — Ministre des Mines et des Hydrocarbures de la République de la Guinée ÉquatorialeOnajite Paul Okoloko — Directeur général du groupe, Directeur exécutif du groupe, Notore Chemical Industries PlcAziz Rabbah — Ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable du Royaume du MarocS.E. Iouri Sentiourine — Secrétaire général du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG)Pavel Sorokin — Vice-ministre de l’Énergie de la Fédération de RussieWale Tinubu — Directeur Général du groupe, Oando PLC
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23 October 2019
16:30–18:00 salle de conférence n° 3
Développer les relations économiques
La transformation numérique comme moteur du développement de l’État
La numérisation est actuellement l’un des moteurs du développement de l’État. Un e-gouvernement efficace accélère l’accès aux services publics, à la fois en simplifiant la communication entre les citoyens et l’État et en mettant en place un système efficace d’interaction électronique entre les différents services. Il devrait en résulter une plus grande satisfaction de la clientèle à l’égard des services publics et aussi des économies de fonctionnement importantes. Comment parvenir à un équilibre entre économies et prestation de services de qualité ? Comment identifier les besoins des citoyens et y répondre avec le maximum d’efficacité ? Le développement des villes et les transformations qu’elles subissent grâce aux nouvelles technologies pour les rendre plus confortables, plus pratiques et plus sûres pour les citadins constituent une tendance générale dans le monde. Qu’est-ce qui joue le rôle clef dans l’activation de la transformation des villes ? Quelles sont les technologies à mettre en place qui peuvent être déterminantes et prioritaires pour faire des villes « intelligentes » ?
Modérateur:Andreï Beloserov — Président, Entité indépendante à but non-lucratif « Villes intelligentes »
Intervenants:François Gibert — Directeur général, Conseil de développement économique de MauriceLéon Juste Ibombo — Ministre de la poste, des télécommunications et de l’économie numérique de la république du CongoClaudette Irere — secrétaire permanente, ministre des Technologies de la communication et de l’Innovation de la république du RwandaNatalia Kasperskaia — Président, Groupe des compagnies InfoWatchS.E. Stella Tembisa Ndabeni-Abrahams — Ministre des Communications et des Technologies Digitales de la République sud-africaine (RSA)Konstantine Noskov — Ministre du Développement numérique, des Communications et des Médias de la Fédération de RussieEvguény Radachkévitch — Directeur général adjoint pour les projets spéciaux de l’Institut de recherches scientifiques Voskhod (Moscou)Tigran Khoudaverdian — Directeur, Yandeх
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24 October 2019
09:00–10:30 salle de conférence Dostoïevski
Développer les relations économiques
Souveraineté technologique et sécurité dans le monde numérique : relever les défis de demain
Le monde des affaires en Afrique est en plein essor et conquiert rapidement l’espace virtuel. En surmontant les problématiques de communication et les restrictions de l’infrastructure financière, de nombreuses entreprises africaines pourront immédiatement lancer leurs entreprises en ligne et mettre en œuvre des solutions mobiles à la pointe. Cependant, les cyberdéfenses des entreprises en forte croissance ne sont pas à la hauteur d’un tel saut qualitatif, ce qui les rend vulnérables face à la cybercriminalité. En ce qui concerne les systèmes d’information publics, la monopolisation des marchés internationaux des technologies de l’information par une poignée de grandes entreprises occidentales pourrait entraîner de graves pertes financières pour l’Afrique mais aussi une menace pour la sécurité personnelle de ses citoyens et sa souveraineté. Les entreprises russes — leaders mondiaux en matière de sécurité numérique — sont en mesure de protéger les entreprises africaines des cybermenaces et d’assurer la souveraineté numérique des pays africains. La clé du succès réside dans la création de partenariats entre les entreprises africaines et russes et dans la formation du personnel national chargé de la sécurité de l’information. Quels sont les modes de cyberprotection dont ont besoin les entreprises africaines aujourd’hui ? Quel partenariat la Russie peut-elle offrir à l’Afrique dans le cyberespace ?
Modérateur:Andreï Bezroukov — Président de l'Association de transfert de la souveraineté technologique
Intervenants:S.E. Ayanda Dlodlo — Ministre de la Sécurité d'État de la République d'Afrique du SudDmitri Komissarov — Directeur général, New Cloud TechnologiesBoris Simis — Directeur général adjoint pour le développement des affaires, Positive TechnologiesPavel Stepanov — Directeur général adjoint, GeoscanVladimir Freinkman — Directeur du marketing et d'études systémiques, Centre de science et de technologie PROTÉE
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24 October 2019
09:00–10:30 salle de conférence Tolstoï
Créer des projets en commun
Les associations d’entreprises russes et africaines : point de départ de partenariats d’affaires à long terme
La méconnaissance de l’état actuel des marchés, des opportunités commerciales et d’investissement, ainsi qu’un certain degré de méfiance à l’égard des partenaires potentiels, sont largement reconnus comme des obstacles majeurs à la coopération entre les entreprises russes et africaines. La solution à ces problèmes réside dans la mise en place d’un système efficace de communication entre les associations d’affaires en Russie et en Afrique, qui, d’une part, cherchent à combiner les intérêts des entrepreneurs et, de l’autre, garantissent leur fiabilité et leur intégrité. Quelles sont les possibilités des associations d’affaires de parvenir à une meilleure croissance en qualité des projets d’affaires en commun et à la dynamisation de la coopération ? Comment peut s’articuler le travail systématique de soutien efficace aux projets des entreprises russes en Afrique et des entreprises africaines en Russie ? La diplomatie des affaires peut-elle pallier l’absence d’institutions étatiques et de mécanismes de coopération ?
Modérateur:Alexeï Répik — Président, association « Diélovaïa Rossia » (« La Russie d’affaires ») ; président du conseil d’administration du Groupe R-Farm
Intervenants:Agostinho Vuma — Président, Confédération des associations économiques de la République du MozambiqueSergueï Katyrine — Président, Chambre de Commerce et d'industrie de la Fédération de RussieJosué Madjitoloum — Président, Organisation nationale de mécénat d'entreprise de la République du TchadRichard Ngatia — Président, Chambre nationale de Commerce et d'Industrie de la République du KenyaJohannes Sebulela — Fondateur, Président, African Business Council
Participants à la discussion:Jean-Marie Ackah — Président, Confédération Générale des Entreprises de la République de Côte d’Ivoire
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24 October 2019
09:00–10:30 salle de conférence n° 1
Créer des projets en commun
Les minerais africains au profit des peuples d’Afrique
Des études géologiques systématiques du territoire d’un certain nombre de pays d’Afrique ont été menées avec la participation et le soutien de spécialistes soviétiques ou russes pendant une longue période. L’extraction des ressources minérales dans ces pays se fait principalement sur la base des résultats de ces travaux. Compte tenu du développement des techniques actuelles de prospection géologique et d’exploration des gisements, la poursuite de l’étude approfondie des ressources du sous-sol dans les pays africains pourrait conduire à la découverte de nouvelles matières premières, uniques au monde, tant sur terre que sur le plateau continental. Quels sont les principaux changements actuels et prévisibles sur les principaux marchés mondiaux des minéraux ? Quelles sont les méthodes russes de pointe en matière de prospection, d’exploration, d’extraction et de traitement des minéraux, d’utilisation des minéraux provenant des déchets miniers, ainsi que les sources d’approvisionnement en eau dans les pays africains ?
Modérateur:Alexander Tchernykh — Directeur général, Institut central de recherches géologiques et minières des métaux non ferreux et précieux
Intervenants:Francis Gatare — Directeur général exécutif, Rwanda Mines, Petroleum and Gas BoardSergueï Gorkov — Directeur général, Président du Conseil d'administration, SA « Rosgeologuia »S.E. Adil Ali Ibrahim — Ministre de l’Énergie et de l’Industrie minière de la république du SoudanBoris Ivanov — Directeur exécutif de GPB Global ResourcesDmitri Kobylkin — Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement de la Fédération de RussieAbdoulaye Magassouba — Ministre des Mines et de la Géologie de la république de GuinéeVladimir Martchenko — Directeur général adjoint, société ALROSAAziz Rabbah — Ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable du Royaume du MarocViktor Radko — Directeur général, United Manganese of Kalahari (UMK)David Francis — Ministre en chef de la république de Sierra Leone
Participants à la discussion:Alexander Ivanov — Premier Directeur général adjoint pour les projets miniers et métallurgiques, Vi HoldingVadim Kossianov — Recteur, Université russe de prospection géologique au nom de Sergo Ordjonikidze
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24 October 2019
09:00–10:30 salle de conférence n° 2
La coopération dans les domaines humanitaire et social
Biosécurité en Afrique : projets en cours et perspectives de coopération
Les défis planétaires du monde interconnecté d’aujourd’hui, tels que les épidémies de maladies graves, ont un impact significatif sur le développement des pays africains. La prospérité et le bien-être de la population en Afrique sont possibles à condition de disposer de systèmes de santé durables et de réponses à des menaces d’ordre biologiques. La région est régulièrement confrontée à des épidémies de maladies infectieuses graves qui font des milliers de morts et causent des pertes en millions. La Russie dispose d’une vaste expérience en matière de réponse aux menaces épidémiologiques et met actuellement en œuvre des projets à grande échelle dans différents pays partout dans le monde. Des contacts historiquement fructueux avec les pays africains, notamment en matière de coopération commerciale, ouvrent de grandes perspectives de collaboration dans l’étude des maladies infectieuses et des agents pathogènes biologiques. Quels sont les défis et les menaces dans le domaine de la santé publique auxquels sont aujourd’hui confrontés les pays du continent africain ? Quels sont les résultats et les perspectives de la coopération entre la Russie et les pays africains dans ce domaine ? Comment les entreprises russes peuvent-elles participer à la mise en œuvre de projets à vocation sociale en Afrique ?
Modérateur:Anna Popova — Cheffe du Service fédéral pour la protection des droits des consommateurs et la surveillance du bien-être humain (Rospotrebnadzor)
Intervenants:Diana Atwine — Secrétaire permanente, ministère de la Santé publique de la république d’OugandaYakov Itskov — Directeur de L’activité Aluminium, RUSALEtheni Longondo — Ministre de la Santé de la République Démocratique du CongoDmitri Sérov — Collaborateur scientifique, expert en matière de technologies numériques et de gestion de l’alimentation en eau et d’évacuation des eaux, Centre de compétences de l’Initiative technologique nationale de l’université polytechnique Pierre le Grand de Saint-PétersbourgSergueï Stortchak — Ministre adjoint des Finances de la Fédération de Russie
Participants à la discussion:
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24 October 2019
11:00–12:30 salle de conférence Dostoïevski
Créer des projets en commun
La Zone industrielle russe en Égypte. Approcher de nouveaux marchés régionaux
Le nouveau paradigme de développement de la chaîne de production repose sur le rapprochement entre la production et les consommateurs finaux, la minimisation des coûts logistiques et technologiques, ainsi que sur la composante sociale des projets permettant d’obtenir des résultats significatifs dans le développement de l’économie locale. Dans cette optique, l’environnement favorable à la production de produits de haute technologie compétitifs est plus efficacement instauré sous la forme de « points d’entrée » au niveau des infrastructures bénéficiant du traitement préférentiel propre aux zones franches et apportant des avantages concurrentiels supplémentaires pour pénétrer les marchés locaux. Le projet de création d’une zone industrielle russe, conçu et mis en œuvre de concert par les gouvernements, des institutions publiques de développement et le milieu des affaires, est un ballon d’essai sans équivalent en termes d’investissements publics et un mécanisme visant à faciliter l’accès des entreprises intéressées aux marchés étrangers. Quelles sont les opportunités offertes aux exportateurs par une telle infrastructure étrangère de soutien ? Quels sont les avantages d’un site localisé par rapport à des centres de production nationaux orientés vers l’exportation (Zones économiques spéciales, parcs scientifiques) ?
Modérateur:
Intervenants:Yehia Zaki — Président, Zone Économique du Canal de Suez (SCZone)Amr Nassar — Ministre du Commerce et de l’Industrie de la République Arabe d’ÉgypteAndreï Slepnev — Directeur général, Centre russe d’exportationAlexeï Filippov — Directeur exécutif pour l’activité de commerce extérieur, société « Usine d’équipement électrotechnique »
Participants à la discussion:Mikhaïl (Shamil) Orlov — Président du Conseil d’affaires russo-égyptien
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24 October 2019
11:00–12:30 salle de conférence Pouchkine
La coopération dans les domaines humanitaire et social
L’Afrique sûre
Le continent africain est régulièrement confronté à des problèmes d’immigration clandestine, de contrebande et d’activités criminelles. La menace la plus grave et la plus importante vient du terrorisme. C’est un ensemble de mesures et une prévention rapide des menaces éventuelles qui peuvent assurer la sécurité de l’État et des personnes. Dans le même temps, les secteurs les plus particulièrement vulnérables sont les zones frontalières faiblement contrôlées, les installations industrielles non protégées et les mégalopoles où il est facile de se perdre. La Russie a élaboré un ensemble de mesures qui permettent de lutter efficacement contre les menaces terroristes, de réprimer les activités illégales et d’assurer la protection fiable de ses citoyens. Les organismes et entreprises russes sont prêts à faire part de leur expérience auprès de leurs partenaires africains. Comment sécuriser les pays africains et leurs populations dans ces conditions ? Comment protéger de manière fiable les frontières nationales et sécuriser les sites d’importance nationale ? Comment empêcher l’entrée de substances interdites dans le pays et prévenir leur diffusion ? Comment identifier rapidement les délinquants et optimiser le fonctionnement des infrastructures urbaines ? Comment mettre fin à l’usage abusif des drones qui peuvent être maintenant achetés dans n’importe quel magasin ?
Modérateur:Alekseï Ivanov — Chef de l'activité économique extérieure et de la coopération militaire et technique, Société d'État « Rostec »
Intervenants:S.E. Alain Guillaume Bunyoni — Ministre de la Sécurité publique et de la prévention des catastrophes de la république du BurundiPavel Kaliakine — Directeur exécutif, LANIT-IntégrationAnton Kondrashov — Chef du Département des relations économiques extérieures, Scantronic SystemsAndreï Krioukov — Directeur adjoint de la gestion analytique et de la planification prospective, SA « Rosoboronexport »Didier Le Bret — Senior partner, ESL & Network Holding SASamba Moni — Vice-gouverneur de la province du Tanganyika de la République démocratique du CongoIgor Polianski — Chef du groupe de développement, Stilsoft GroupBasma Soudani — Directrice chargée des questions politiques, de l’information et du cabinet, Union du Maghreb arabe
Participants à la discussion:
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24 October 2019
11:00–12:30 salle de conférence Tolstoï
La coopération dans les domaines humanitaire et social
Les moteurs de développement des systèmes nationaux de santé
Le « fardeau des maladies » en Afrique dépasse de loin la capacité économique des systèmes nationaux de santé. La question des maladies infectieuses est particulièrement préoccupante, mais la lutte contre les maladies cardiovasculaires et les cancers s’impose aussi, et le diabète est également de plus en plus présent. Parallèlement, le coût élevé des médicaments et des services, ainsi que le manque d’équipements modernes nécessaires limitent l’accès aux médicaments dans les pays africains. La pénurie de personnel est particulièrement grave. Il y a un besoin évident de technologies de pointe pour améliorer le niveau des services médicaux : téléphones portables, technologie blockchain, impression 3D, drones et autres. Tout cela permettra d’améliorer considérablement la qualité des services médicaux et de réduire les coûts. En raison de l’étendue des territoires africains, de la population importante et du manque chronique de personnel médical, la télémédecine avec l’assistance et les traitements à distance est une voie à explorer. Quel est l’impact de la coopération avec la Russie sur le développement des systèmes de santé en Afrique ? Quels sont les secteurs de la santé qui éprouvent particulièrement la nécessité de mener des investissements publics et privés ? Quelles sont les innovations les plus nécessaires aujourd’hui pour faire face aux problèmes de santé publique urgents des pays africains ? Les technologies de pointe sont-elles suffisantes pour résoudre le problème de la pénurie de médecins ? Qu’est-ce qui peut affecter de manière significative l’amélioration des systèmes nationaux de santé publique ?
Modérateur:Alexeï Répik — Président, association « Diélovaïa Rossia » (« La Russie d’affaires ») ; président du conseil d’administration du Groupe R-Farm
Intervenants:Skhumbuzo Ngozwana — Président et directeur général exécutif de Kiara Health PtyS.E. Wycliffe Ambetsa Oparanya — président, Conseil des gouverneurs de comté de la République du KenyaVéronika Skvortsova — Ministre de la santé de la Fédération de Russie
Participants à la discussion:Etheni Longondo — Ministre de la Santé de la République Démocratique du CongoAlexandre Loukachev — Directeur de l’Institut de parasytologie et des maladies tropicales et transmissibles Martsinsky (Moscou)Simon Matskeplichvili — Directeur adjoint chargé des enseignements, clinique universitaire de l’Université de Moscou Lomonossov, membre du conseil de direction de la Société russe des cardiologuesIvan Ojguikhine — Directeur général adjoint chargé du développement des ventes, du marketing et du soutien à la production civile, société « Schwabe »Meriem Razgallah Khrouf — Directrice de la Pharmacie et du médicament, ministère de la Santé de la république de TunisieSoumaya Yahiaoui — Directrice générale de la Pharmacie et de l’équipement de santé, ministère de la Santé de la population et de la réforme hospitalière de la république démocratique et populaire d’Algérie
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24 October 2019
11:00–12:30 salle de conférence n° 1
Développer les relations économiques
Tableau de l’avenir du continent africain : la souveraineté et les valeurs nationales comme éléments majeurs de la stratégie de développement
À l’ère de la mondialisation, la préservation des valeurs et des priorités nationales est une urgence. La souveraineté économique et politique est la base du développement dans un monde multipolaire, et les pays africains ne font pas exception. Le document de base de l’Union africaine intitulé Agenda 2063 souligne l’importance de sauvegarder les valeurs africaines et les idéaux du panafricanisme. Comment les pays africains peuvent-ils conserver leur identité aujourd’hui ? Quels sont les problèmes les plus urgents et les solutions à apporter ? Comment la Russie peut-elle aider les habitants du continent africain à élaborer leurs propres stratégies de développement et à conserver le droit de prendre leurs propres décisions ?
Modérateur:Alexander Malkevitch — Président, Commission de la Chambre publique de la Fédération de Russie pour le développement de la société de l'information, des médias et des communications de masse
Intervenants:Abd al-Rahman Abd al-Wahhab Nur Ed-Daim Sayed — Membre, Association des économistes du SoudanVaiva Adomaityte — Fondatrice et Directrice générale, AdmisMarie-Noëlle Koyara — Ministre de la Défense nationale et de la Reconstruction de l’armée de la République centrafricaineJose Matemulane — Président, Association pour la recherche libre et la coopération internationaleLaurence Ndong — vice-présidente, « Pour le Gabon »Clifton Ellis — Fondateur et Président, International Sustainable Energy OrganisationNathalie Yamb — Conseillère exécutive, Liberté et démocratie pour la République de Côte d'Ivoire (LIDER)
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24 October 2019
11:00–12:30 salle de conférence n° 3
Créer des projets en commun
L’industrie minière en Afrique : nouvelles technologies et efficacité maximale
L’industrie minière africaine est l’une des premières au monde en termes de réserves et de production de nombreux minéraux et combustibles précieux. L’Afrique exporte de 90 % à 100 % de ses matières premières. Dans de nombreux pays d’Afrique en développement, l’exploitation minière constitue l’épine dorsale de la capacité industrielle et des exportations. Les capitaux étrangers occupent une place importante dans ce secteur ; c’est là que sont réalisés environ 75 % de tous les investissements étrangers. Les complexes miniers assurant l’extraction et le traitement des minerais jouent là le rôle principal. Les méthodes traditionnelles de mise en valeur des gisements sont de plus en plus coûteuses aujourd’hui. La réduction des coûts est particulièrement importante pour les sociétés minières qui sont souvent confrontées à des problèmes fondamentaux de productivité, notamment des coûts d’entretien élevés, un équipement peu fiable, un dépannage tardif, de faibles taux d’utilisation et des incidents liés à la sécurité. Quelles sont les nouvelles technologies qui peuvent stimuler le développement du secteur aujourd’hui ? Comment peut-on s’attaquer efficacement aux problèmes de sécurité et d’environnement dans le secteur minier ?
Modérateur:Igor Bogatchev — Comité de coopération internationale, sous-comité pour l'économie numérique et l'innovation, Union des producteurs et entrepreneurs de Russie
Intervenants:Vladimir Antonov — Directeur exécutif, société TchetraGeorge Bakali — Directeur exécutif, SARL Maximus MiningVladimir Martchenko — Directeur général adjoint, société ALROSAZakaria Naimi — Directeur Green Energy Park, Institut de recherche scientifique sur l’énergie solaire et les sources d’énergie renouvelables (IRESEN)George Oyema — Président, General Maniema Mining Company SarlPavel Rastopchine — Directeur exécutif, « TSIFRA »
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence Dostoïevski
Créer des projets en commun
Géologie russe en Afrique : héritage et perspectives
Avec le soutien de la SA «Rosgeologuia»
L’Afrique est extrêmement riche en sous-sol, or ce dernier est encore mal étudié. Parmi d’autres continents elle détient la première place quant aux réserves des minerais de manganèse, de chromites, de bauxites, d’or, de platine, de cobalt, de diamants, de phosphorites. Sont importantes aussi ses ressources de pétrole, de gaz naturel, de graphite, d’amiante. Les compagnies russes, à leur tour, possèdent une riche expérience quant aux travaux de prospection géologique et sont intéressées à aller travailler sur le continent africain. Quel est le niveau de coopération interétatique dans le domaine de géologie entre la Russie et l’Afrique ? Qu’est que les entreprises géologiques russes peuvent-elles offrir aux pays africains ? Quelle expérience et quel savoir-faire ont-ils été acquis à l’époque de présence active des entreprises russes (et soviétiques) sur le territoire de l’Afrique et en quoi peut-elle être utile pour reprendre la coopération dans le secteur géologique ?
Modérateur:Sergueï Gorkov — Directeur général, Président du Conseil d'administration, SA « Rosgeologuia »
Intervenants:Diamantino Pedro Azevedo — Ministre des Ressources minérales et du pétrole de la république d’AngolaHon. Gabriel Thokuj Deng Amaykway — Ministre des Mines de la République du Soudan du SudFrancis Gatare — Directeur général exécutif, Rwanda Mines, Petroleum and Gas BoardFoday Rado Yoki — Ministre de l’Industrie minière et des Ressources minérales de la république de Sierra-LeoneDmitri Kobylkin — Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement de la Fédération de RussieS.E. Gabriel Mbega Obiang Lima — Ministre des Mines et des Hydrocarbures de la République de la Guinée Équatoriale
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence Pouchkine
La coopération dans les domaines humanitaire et social
Créer une nouvelle qualité de vie en Afrique
La population africaine connaît la croissance la plus forte au monde et plus de 50 % de la population a moins de 25 ans. En même temps le niveau de vie demeure un des plus bas au monde. Comment la Russie peut-elle contribuer à améliorer les mécanismes d’amélioration de la qualité de vie de la population africaine, en particulier des jeunes ? Comment renforcer la coopération entre les établissements d’enseignement russes et africains et la présence de bénévoles russes hautement qualifiés sur le continent ? Comment accroître le fonds de bibliothèques et améliorer l’accès à l’information pour les jeunes des pays africains ? Que faut-il faire pour sensibiliser la communauté internationale au patrimoine africain ? Comment impliquer les jeunes et renforcer la coopération en vue d’assurer la protection du patrimoine aux niveaux local, régional et mondial ?
Modérateur:Andreï Sokolov — Directeur général adjoint, agence d’information de Russie TASS
Intervenants:Dirk Badenhorst — Réalisateur, Mzansi ProductionsJan Berkmans — Président, Global Help to Heal IncTatiana Semenenko — Directrice du Centre culturel « Francothèque », Bibliothèque publique de Russie de littérature étrangère RoudominoJoseph Timtchenko — Fondateur, Sunrise TeamEvgueni Touloubenski — Directeur des affaires juridiques, corporatives et réglementaires, Membre du Conseil d'administration, NordgoldNamukale Chintu — directrice générale, EFG Private Bank LimitedVladimir Yourtaev — Docteur en sciences historiques ; Professeur, Département de théorie et d'histoire des relations internationales, Université russe de l'Amitié des Peuples (URAP)
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence Tolstoï
Développer les relations économiques
La contribution de la jeunesse russe et africaine dans le développement durable au niveau mondial
L’intégration de la jeunesse dans la coopération internationale et la mise en place des conditions favorables à la participation de jeunes leaders et entrepreneurs dans la recherche de solutions aux problèmes mondiaux correspondent à l’ordre du jour de l’Union africaine à l’horizon 2063 et complètent le programme de Développement Durable à l’horizon 2030 adopté par l’ONU. La clé au renforcement de la coopération internationale entre la jeunesse de la Russie et de l’Afrique réside dans l’échange des meilleures pratiques et la mise en place des interactions à travers des projets concrets. Étant le mécanisme le plus efficace des changements structurels dans le domaine socioéconomique, les communautés de faiseurs d’opinion et de start-up jouent un rôle particulier dans le renforcement du partenariat entre les jeunes leaders russes et africains. Les jeunes leaders et entrepreneurs de la Russie et de l’Afrique, quels mécanismes détiennent-ils afin de contribuer à la réalisation des Objectifs de développement durable et de l’ordre du jour de l’Union africaine à l’horizon 2063 ? Comment la jeunesse de la Russie et des pays d’Afrique développe-t-elle des initiatives internationales conjointes ? Quels sont les obstacles à la mise en place de la coopération entre les jeunes ?
Modérateur:Salah Eddine Tiar — Président, Fondateur, Fondation Jeunes ambassadeurs d'Algérie
Intervenants:Valentin Ignatiev — Président, sous-comité russe de coopération stratégique avec l'Afrique et le Proche-Orient, comité pour l'intégration économique et les relations économiques étrangères, Chambre de commerce et d'industrie de la Fédération de RussieRoman Kamaïev — Directeur adjoint, Agence fédérale de la jeunesse (« Rosmolodioj »)Gabriel Anicet Kotchofa — haut-commissaire et secrétaire général adjoint de l’Organisation de coopération économique eurasiatiqueSerguey Cheremschanov — Chef de la Direction des activités éducatives et sociales, Directeur, Centre de ressources du bénévolat « FORWARD », Université d’État de Sotchi
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence n° 1
La coopération dans les domaines humanitaire et social
Les femmes dans les relations russo-africaines. La parité des sexes dans la politique et le secteur économique et social
Le thème de développement de l’entrepreneuriat et du leadership des femmes est d'actualité dans toutes les régions du monde, il est largement discuté sur toutes les plateformes des organisations et des associations internationales. D’après les prévisions, l’intégration des femmes à l’économie permettra d’augmenter le PIB mondial en 2025 de 28 billions de dollars, l’équivalent de l’économie conjointe de la Chine et des USA. Actuellement les femmes en Europe touchent en moyenne 15 % de moins par rapport aux hommes pour le même poste. Ce pourcentage est encore plus important lorsqu’il s’agit de l’Afrique et de l’Asie. En 2019 la Russie a présenté sur la plateforme de l’ONUDI un modèle complexe de développement du système écologique « Les femmes et l’économie » créé à base des meilleures pratiques russes et mondiales. Quelles mesures d’appui en faveur des femmes sont les plus pertinentes ? Qu’est-ce qu’il est possible d’apporter au secteur économique et social en Russie et dans les pays africains pour contribuer à la réalisation des droits économiques et des initiatives des femmes ?
Modérateur:Elena Miakotnikova — Directrice générale, Agence d’initiatives stratégiques pour la promotion de nouveaux projets
Intervenants:Amany Asfour — Présidente, Association internationale des femmes spécialistesS.E. Hala Helmy Elsaid Younes — Ministre de la planification, du contrôle et des réformes administratives de la République Arabe d’ÉgypteTiguidanke Camara — Fondatrice, directrice exécutive principale, Tigui Mining Group (TMG)Slauzy Zodwa Mogami — Fondatrice, directrice exécutive principale, présidente, « Ladies in the Frontline »Véronika Pechkova — Présidente du Fonds de développement de la diplomatie sociale « Regards de femmes », ambassadrice de bonne volonté, Organisation des Nations unies pour le développement industriel (UNIDO)Soraya Hakuziyaremya — Ministre du Commerce et de l’Industrie de la république du RwandaNatalia Zeiser — Présidente du conseil d’administration, Association « Initiative africaine d’affaires »
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence n° 2
Créer des projets en commun
Partenariats agro-industriels durables : institutions, outils, garanties
Avec le soutien de la SA PhosAgro
Le développement progressif de l’Afrique ces dernières années, la croissance démographique et l’augmentation des revenus sur le continent stimulent la production agricole, mais la fracture technologique, le manque de terres adaptées à la production agricole et la faible disponibilité de main-d’œuvre qualifiée ne répondent pas pleinement aux besoins du marché africain. En raison de ses conditions géographiques uniques et de ses vastes ressources en terres et en eau, la Russie dispose d’un énorme potentiel agricole. Ces dernières années, des entreprises russes ont activement développé leurs exportations de produits agricoles et alimentaires vers les marchés étrangers. Désormais la Russie fait partie des dix plus grands fournisseurs de produits alimentaires pour les pays africains. Toutefois, l’efficacité de ce commerce est entravée par un certain nombre d’obstacles infrastructurels dont l’élimination pourrait porter la coopération à un niveau résolument nouveau. Comment créer une infrastructure logistique favorable aux relations de partenariat avec les pays africains ? Quels sont les éléments nécessaires au développement d’un partenariat russo-africain mutuellement avantageux dans le domaine du commerce des produits agroalimentaires ? Quelles sont les perspectives des investissements russes dans la production agricole et les infrastructures en Afrique aujourd’hui ?
Modérateur:Albert Davleev — Président, Agrifood Strategies
Intervenants:Hon. Otunba Adeniyi Adebayo — Ministre de l’Industrie, du Commerce et des Investissements de la république fédérale du NigeriaYehia El Shafei — Président directeur général, United Oil Processing and PackagingSelim Basak — Directeur associé, Gemcorp CapitalAndreï Gouriev — Président du Conseil d'administration et Directeur général, SA « PhosAgro »Edouard Zernine — Directeur exécutif, Union des exportateurs de céréalesDmitry Konyaev — Vice-président du Conseil d'administration, URALCHEM, JSCKray Holger — directeur de l’agriculture pratique pour la région Afrique, Groupe de la Banque mondialeSergueï Levin — Vice-ministre de l'Agriculture de la Fédération de RussieAngela Ndambuki — Présidente, Chambre de commerce et d’industrie de la république du Kenya
Participants à la discussion:Ksénia Bolomatova — Directrice générale adjoint, société « Entreprise unifiée de céréales »Natalia Zagorskaïa — Directrice générale, société LKKhP KirovSergeï Ivanov — Directeur exécutif, « Entreprise de gestion EFKO »Vassili Lavrovsky — Conseiller du directeur, Agence du service fédéral de contrôle vétérinaire et phytosanitaire
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24 October 2019
13:00–14:30 salle de conférence n° 3
Développer les relations économiques
La mise en concurrence des juridictions nationales: les expériences russe et africaine
Chaque pays s’efforce de créer un système juridique susceptible d’améliorer la compétitivité de sa juridiction nationale non seulement pour les entreprises du pays mais aussi pour les entreprises étrangères. Quelles sont les pratiques internationales qui devraient être utilisées pour faire progresser la juridiction nationale ? Quels sont les mécanismes qui devraient être utilisés pour améliorer le système judiciaire et celui du règlement extrajudiciaire des litiges ? Comment améliorer la qualité de la justice ? Quelles sont les solutions dans le domaine du droit qui sont nécessaires si on veut réunir les conditions optimales d’un développement des relations économiques russo-africaines ?
Modérateur:Vladimir Grouzdev — Président du Conseil d'administration, Organisation publique russe « Association des avocats de la Russie »
Intervenants:Gandhi Badela — Avocat au barreau de JohannesburgSergueï Gebel — Membre du conseil général de l’association « Diélovaïa Rossia » (« La Russie d’affaires »), directeur général, associé partenaire du cabinet d'avocats « Abvil »Gabriel Curtis — Ministre en charge des Investissements et du Partenariat public-privé de la République de GuinéeLucien Dieudonné Ngoyi — Président, directeur general, BNB World Trading CorporationKirill Oudovitchenko — Associé, « Monastyrsky, Zyuba, Stepanov & Partners »